Dans tous les récits de fiction, d’une façon ou d’une, on trouve un·e antagoniste. Tout simplement parce qu’iel crée du conflit.

Dans tous les récits de fiction, d’une façon ou d’une, on trouve un·e antagoniste. Tout simplement parce qu’iel crée du conflit.
Il existe beaucoup de maisons d’édition, seulement elles se divisent en deux grandes catégories : celles à compte d’éditeur et celles à compte d’auteur. Parce que oui, il y a une différence, une grande, très grande différence.
Nous avons tous une fois tenu un bouquin entre nos mains, par amour de la lecture ou par défaut. Quand nous ne sommes pas dans l’univers de l’écriture créative, il est difficile de se faire une idée de tout le travail qu’il y a derrière deux cents pages reliées, pourtant c’est une tâche considérable. Alors pour cette semaine, penchons-nous sur comment écrire le premier jet d’un livre, édition fiction.
Penchons-nous sur l’écriture créative un instant. Et plus loin encore, concentrons-nous sur l’écriture de fiction. Dans ce domaine-là, plusieurs éléments portent le récit, l’intrigue, l’univers, et les personnages. Alors comment penser un· héro·ïne qui accroche ?
La recherche est primordiale pour la plupart des travaux de rédaction, elle fait partie intégrante du travail d’écrivain·e (public·que ou pas d’ailleurs). C’est une étape, dans le processus d’écriture que certains adorent, et que d’autres abhorrent. Dans cet article, je traite de la recherche pour les textes de non-fiction, mais pas seulement.
D’une façon ou d’une autre, nous sommes amenés à écrire. Ça commence à l’école, ça continue au travail et parfois ça passe par la maison. Dissertation, corpus, puis compte-rendu, rapport. Chaque jour nous devons argumenter quelque chose et cela nécessite une structure spécifique et pertinente. En voici quelques-unes.
Parce que ce sont les mots qui font les temps, que peut-on dire d’aujourd’hui ?
Pour faire simple, le français d’hier et celui d’aujourd’hui sont différents. Entre les expressions propres à chaque génération, les termes devenus obsolètes et ceux créés par l’air du temps, le français, comme toute langue vivante évolue. Ça implique que certains mots disparaissent, et que d’autres apparaissent.
Natif ou pas, on peut tous s’accorder sur le fait que parfois, le français est difficile à maîtriser. D’autant plus à l’heure du digital et de la mondialisation. Je suis la première à me reposer sur l’auto-correction de mon téléphone, et à force d’absorber du contenu anglais, j’oublie mes tournures françaises. Heureusement, il est toujours possible de remédier à ses lacunes en se plongeant dans des lectures faciles.
On se rappelle tous qu’un jour, on a appris à lire un dictionnaire. Les mots sont dans l’ordre alphabétique, il y a des verbes, des noms communs, des adjectifs. Cet outil que nous avons si souvent utilisé, est un dictionnaire de langue, mais il en existe bien d’autres.