Dans tous les récits de fiction, d’une façon ou d’une, on trouve un·e antagoniste. Tout simplement parce qu’iel crée du conflit.

Dans tous les récits de fiction, d’une façon ou d’une, on trouve un·e antagoniste. Tout simplement parce qu’iel crée du conflit.
Il existe beaucoup de maisons d’édition, seulement elles se divisent en deux grandes catégories : celles à compte d’éditeur et celles à compte d’auteur. Parce que oui, il y a une différence, une grande, très grande différence.
Le récit de vie est partout, nous l’étudions à l’école, et il orne les étagères des librairies et bibliothèques. Nous en entendons à chaque repas de famille, et nous en contons à notre tour plus souvent que nous le croyons.
Nous avons tous une fois tenu un bouquin entre nos mains, par amour de la lecture ou par défaut. Quand nous ne sommes pas dans l’univers de l’écriture créative, il est difficile de se faire une idée de tout le travail qu’il y a derrière deux cents pages reliées, pourtant c’est une tâche considérable. Alors pour cette semaine, penchons-nous sur comment écrire le premier jet d’un livre, édition fiction.
Penchons-nous sur l’écriture créative un instant. Et plus loin encore, concentrons-nous sur l’écriture de fiction. Dans ce domaine-là, plusieurs éléments portent le récit, l’intrigue, l’univers, et les personnages. Alors comment penser un· héro·ïne qui accroche ?
L’article de cette semaine plonge dans un sujet qui évolue, qui change, tout ça très rapidement. L’information.
Le monde est complexe. Voilà, c’est dit. Entre la géopolitique, l’histoire, la culture de chacun, mais aussi les événements, les phénomènes, il est difficile, en tant que profane de tout comprendre.
D’une façon ou d’une autre, nous sommes amenés à écrire. Ça commence à l’école, ça continue au travail et parfois ça passe par la maison. Dissertation, corpus, puis compte-rendu, rapport. Chaque jour nous devons argumenter quelque chose et cela nécessite une structure spécifique et pertinente. En voici quelques-unes.
Parce que ce sont les mots qui font les temps, que peut-on dire d’aujourd’hui ?
Pour faire simple, le français d’hier et celui d’aujourd’hui sont différents. Entre les expressions propres à chaque génération, les termes devenus obsolètes et ceux créés par l’air du temps, le français, comme toute langue vivante évolue. Ça implique que certains mots disparaissent, et que d’autres apparaissent.
Natif ou pas, on peut tous s’accorder sur le fait que parfois, le français est difficile à maîtriser. D’autant plus à l’heure du digital et de la mondialisation. Je suis la première à me reposer sur l’auto-correction de mon téléphone, et à force d’absorber du contenu anglais, j’oublie mes tournures françaises. Heureusement, il est toujours possible de remédier à ses lacunes en se plongeant dans des lectures faciles.