Le récit de vie est partout, nous l’étudions à l’école, et il orne les étagères des librairies et bibliothèques. Nous en entendons à chaque repas de famille, et nous en contons à notre tour plus souvent que nous le croyons.

Le récit de vie est partout, nous l’étudions à l’école, et il orne les étagères des librairies et bibliothèques. Nous en entendons à chaque repas de famille, et nous en contons à notre tour plus souvent que nous le croyons.
La recherche est primordiale pour la plupart des travaux de rédaction, elle fait partie intégrante du travail d’écrivain·e (public·que ou pas d’ailleurs). C’est une étape, dans le processus d’écriture que certains adorent, et que d’autres abhorrent. Dans cet article, je traite de la recherche pour les textes de non-fiction, mais pas seulement.
Celui qu’on ne voit pas, mais qui est là.
Aussi appelé prête-plume, ou en anglais ghostwriter, c’est un métier qui remonte à loin
Une partie non négligeable du métier d’écrivain public, c’est bien d’écrire pour les autres. Au milieu des corrections de travaux déjà bien avancés, de relectures et de réécritures de mots déjà couchés sur papier, et des rédactions professionnelles, il y a des projets qui demandent de la rédaction venant du cœur, pour le cœur. Ce ne sont pas les idées de l’écrivain, ce sont celles du client, mais c’est aussi ça le métier d’écrivain public. C’est d’écrire pour les autres.